
Anaïs LF
À travers une abstraction vibrante et instinctive, Anaïs LF capture l’essence du mouvement et de l’émotion, invitant chaque regard à une immersion sensible et personnelle. Ses œuvres sont collectionnées dans 18 pays.
Elle conçoit chaque tableau comme un espace ouvert, où l’émotion prime sur l’explication, et où le regardeur peut projeter ses propres résonances. Ce qu’elle cherche avant tout, c’est une forme de liberté — celle de créer, mais aussi celle de laisser chacun·e interpréter, ressentir et s’approprier ses œuvres.

Silence, mémoire affective et ouverture interprétative
Ses tableaux agissent parfois comme une sorte de capsule temporelle émotionnelle. Elle espère pouvoir offrir ceci au monde. Comme un retour en arrière, une immersion dans une émotion au moment de la contemplation, un sentiment d’intemporalité.
Ce désir de préserver intact ce qui fut vécu, sans le brouiller par le prisme du présent.
De la même manière, elle choisit ne pas figer le sens de ses tableaux, pour laisser à chacun la liberté d’une expérience renouvelée, consciente que chaque regard posé aujourd’hui est aussi chargé de l’histoire personnelle et des émotions du moment.
Elle ne donne jamais de sens figé, ni de clés toutes faites.
Ce qu’elle cherche avant tout, c’est la liberté. La liberté pour chacun de se connecter à ce qu’elle pose sur la toile, à sa manière, avec son histoire, son vécu.
Il y a un grand désirs de libertés (au pluriel) dans cet engagement. Mais peut-être aussi un rapport compliqué aux mots, des mots qui ont du sens, qui figent le sens, et peut-être par conséquent, un rapport au temps libre de sens.